Un « réfugié » pédophile déclare qu’il n’y a « pas de bonnes personnes en Allemagne »… – Résistance Républicaine
Mohammad S. à son procès lundi
►Un « réfugié » pédophile déclare qu’il n’y a « pas de bonnes personnes en Allemagne »…
C’est la logique coranique : suivre l’exemple du prophète pédophile et haïr les infidèles.
Bild
L’Afghan qui a eu une « relation » avec une fillette de 11 ans affirme :
« Il n’y a pas de bonnes personnes en Allemagne »
Mohammad S. a été renvoyé de son cours de langue en raison de son comportement agressif, a perdu plusieurs emplois et s’est ainsi retrouvé à consommer et à vendre de la drogue. Une chambre du tribunal considère que l’Afghan, qui présente des troubles psychologiques, présente un risque élevé de récidive d’actes délictueux.
Erfurt (Thuringe) – Elle n’avait que 11 ans, mais pour Mohammad S., cela ne posait aucun problème.
Il a continué à entretenir une « relation » sexuelle avec la jeune fille mineure, a fêté son 12e anniversaire avec un mini-gâteau et des abus …
Lundi, le procès de S. s’est poursuivi. Le véritable chef d’accusation contre lui : le soir du 31 août 2024, il avait attiré deux jeunes filles de 18 ans dans son appartement d’Erfurt (Thuringe), les a menacées avec une machette et aurait ensuite forcé l’une des filles à avoir des relations sexuelles.
Le viol a eu lieu dans cette tour du Juri-Gagarin-Ring à Erfurt en août 2024 – depuis, l’accusé est en détention à l’établissement pénitentiaire de Tonna.
« Vous ne sortirez pas d’ici tant que l’une d’entre vous n’aura pas eu de relations sexuelles avec moi »,
a menacé l’Afghan, alors infecté par la gale, avant le viol.
La police a découvert l’Afghan grâce à son téléphone portable
Lors du procès devant le tribunal régional d’Erfurt (Thuringe), d’autres détails effrayants de la vie de l’Afghan ont été révélés lundi : c’est en analysant son téléphone portable que la police criminelle a découvert qu’il avait abusé sexuellement d’enfants.
En effet, depuis au moins mars 2022, Mohammad S. a abusé quotidiennement d’Emily K., alors âgée de 11 ans seulement. Il affirme : « La famille était d’accord avec cette relation ».
Chez les parents, le son de cloche était tout autre : « Nous voulions l’empêcher, nous lui avons dit que c’était punissable », a déclaré le père de la fillette à la barre. Mais la relation s’est poursuivie en secret : « Dès qu’elle quittait la maison, nous ne pouvions plus rien faire », raconte-t-il en évoquant les difficultés à protéger sa fille toxicomane de l’accusé, qui aurait eu 19, puis 24 et soudain 29 ans.
Le réfugié a déjà fait de la prison
En effet, le registre central des étrangers suggère que Mohammad S. n’a pas 25 ans comme le suppose l’accusation, mais 31. Mais ce n’est pas tout : le réfugié a déjà passé six mois en prison pour avoir menacé de commettre un attentat à la bombe contre une caisse d’épargne d’Erfurt en 2022.
►La propagande islamiste menace les carnavals en Allemagne et aux Pays-Bas
A gauche : « Faisons une boucherie ! »
A droite : « Qu’attendez-vous ? Les rues sont pleines de cibles ».
Les autorités allemandes sont en état d’alerte après que des sites de propagande islamiste ont diffusé des menaces visant les carnavals à venir en Allemagne et aux Pays-Bas, ce qui a entraîné un renforcement des mesures de sécurité dans un contexte d’inquiétude croissante face à la radicalisation.
Les agences de sécurité d’Allemagne et des Pays-Bas sont en état d’alerte après que des sites de propagande islamiste ont commencé à diffuser des menaces visant les prochaines célébrations du carnaval dans plusieurs villes. La propagande, diffusée par des canaux extrémistes, comprend des images et des messages incitant à attaquer les carnavals à Nuremberg, Cologne et dans la ville portuaire néerlandaise de Rotterdam.
Les autorités ont exprimé leur vive inquiétude face à la mobilisation et à la radicalisation croissantes des extrémistes islamistes, en particulier au cours des derniers mois. Un responsable de la protection de l’État a déclaré à Bild : « Ces assassinats se répandent rapidement. C’est surtout au cours des derniers mois que l’on a assisté à une mobilisation et à une radicalisation croissantes des islamistes ».
Une image inquiétante partagée par les propagandistes montre des couteaux, des armes à feu et le drapeau de Daesh, accompagnés du hashtag #LetsSlaughter [faisons une boucherie]. Une autre image montre un conducteur au volant d’un véhicule visant une foule, avec un montage désignant des individus comme cibles, et la légende suivante : « Qu’attendez-vous ? Les rues sont pleines de cibles ».
3,752 total views, 3,751 views today
