Sophia Genetics vise toujours la rentabilité en 2026
Abonnez-vous pour accéder au résumé en 20 secondes.
Née en 2011, Sophia Genetics espère être rentable à la fin de l’année 2026. Pour Jurgi Camblong, cofondateur et directeur général de la société, dont le siège se trouve à Rolle (VD), l’objectif reste inchangé. «Nous visons une rentabilité EBITDA [bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement, ou bénéfice d’exploitation, ndlr] à la fin de l’année 2026, détaille-t-il. C’est l’indicateur qui compte pour les marchés.»
Le 6 mai, elle a présenté un chiffre d’affaires en hausse de 15% à taux de change constant à 17,8 millions de dollars (14,7 millions de francs). En revanche, elle a également enregistré une perte nette en progression de 27% sur un an à 17,4 millions (14,4 millions de francs), tandis que la perte d’exploitation s’est établie à 9,8 millions, soit une amélioration de 24% en comparaison annuelle.
Poursuivez votre lecture avec un accès complet: -50% sur votre abonnement digital
✓ Toutes nos analyses et enquêtes exclusives
✓ L’intégralité de nos contenus dans l’application mobile
✓ Les privilèges réservés aux abonnés
🚀 Offre limitée – Plus que 100 abonnements disponibles
J’en profite maintenant
Vous avez déjà un compte ?
Se connecter