Quand un groupe de trafiquants arabes menace de « vendre aux enchères » une femme noire… – Résistance Républicaine
Le marché aux esclaves à Zanzibar (Tanzanie), un vendeur arabe présente la dentition d’une esclave accompagnée de son enfant à un acheteur potentiel, gravure d’après un dessin d’Émile Bayard, illustrant le dernier journal de David Livingstone (1813-1873)
Réminiscences de la traite arabo-musulmane…
On imagine sans mal ce que ce trafic d’êtres humains peut leur rapporter. Rien n’a changé. Rappelons l’esclavage musulman des États barbaresques (possessions de l’Empire ottoman), qui comprenaient les régence de Tunis, régence d’Alger et régence de Tripoli… Voir sur RR
►Quand un groupe de trafiquants arabes menace de « vendre aux enchères » une femme noire…
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Libye : une vidéo révèle qu’une jeune femme éthiopienne est torturée pour obtenir une rançon
Naima Jamal, 20 ans, est torturée depuis des mois par un groupe de trafiquants en Libye. Si sa famille ne paie pas, elle sera vendue aux enchères, affirment des militants.
Un groupe de trafiquants en Libye a envoyé des vidéos et des images d’une jeune femme éthiopienne torturée à sa famille, exigeant qu’elle paie 6 000 dollars pour sa libération, a révélé une ONG cette semaine.
Selon l’association Refugees in Libya, Naima Jamal, 20 ans, a été enlevée avec son petit ami peu après leur arrivée en Libye, et est depuis retenue captive dans un entrepôt de la ville de Kufra, dans le sud du pays.
Naima Jamal s’était rendue en Libye par l’intermédiaire de groupes de passeurs depuis un village de la région éthiopienne d’Oromia, dans l’espoir de rejoindre l’Europe.
Sa famille, restée au pays, a reçu des appels menaçants de ses ravisseurs, qui lui envoyaient des images et des vidéos d’elle en train d’être torturée.
La dernière vidéo, reçue lundi, montre Jamal enchaînée à une chaîne suspendue au plafond. Elle crie de douleur alors qu’elle est frappée avec une barre et aspergée d’eau.
Sur une autre image, elle est à genoux, bâillonnée, avec un cordon bleu enroulé autour de sa poitrine, comme des dizaines d’autres captifs.
Le fondateur de Refugees in Libya, David Yambio, qui a été en contact avec la famille de Jamal, explique à MEE qu’ils « n’ont personne vers qui se tourner ».
« Exiger 6 000 dollars d’un habitant d’un village reculé d’Oromia, et a fortiori d’un travailleur africain, est une situation inimaginable », dit-il.
Il ajoute que la famille craignait de partager des informations concernant Jamal, de peur que ses ravisseurs ne lui fassent du mal.
« Ils pensent que les trafiquants les espionnent, ce qui est courant. « Ils vous avertissent immédiatement : si vous communiquez leur numéro ou toute autre information, ils feront du mal à votre proche.
Une pratique courante
Jamal n’est pas seule, elle fait partie des milliers de réfugiés qui arrivent chaque année en Libye dans l’espoir d’embarquer sur un bateau pour l’Europe, avant d’être enlevés par des trafiquants et retenus contre rançon.
La Libye est un pays de transit essentiel pour les réfugiés, souvent originaires d’Afrique subsaharienne. On estime à 760 000 le nombre de réfugiés arrivés en Libye en juillet 2024.
►Autriche : un migrant crie : « Je vais vous poignarder, je vais vous taillader !… Tous les non-musulmans seront poignardés »
L’incident s’est produit dans un tramway de la Linzer Landstraße
Kronen Zeitung
« Je te poignarde, je te tranche ! », c’est ainsi qu’un Tchétchène de 25 ans a menacé de tuer une femme de son âge qu’il ne connaissait pas du tout, vendredi vers 7h45 du matin dans un tramway du centre-ville de Linz. Le malade mental a été placé en détention provisoire.
Auparavant, l’homme avait déjà attiré l’attention de la femme de Linz parce qu’il marmonnait dans sa barbe. Puis les menaces ont commencé : « Je vais tous vous poignarder. Le moment viendra », avait dit le suspect.
« Je me fiche que vous soyez des enfants »
Lorsque des écoliers sont montés au Taubenmarkt, le Tchétchène les a également menacés en disant : « Je me fiche de savoir si vous êtes des enfants ». Il a en outre menacé : « Tous les non-musulmans seront poignardés ».
La Linzoise menacée a fait preuve de sang-froid et a alerté la police. Grâce à sa bonne description personnelle, le suspect a pu être arrêté dans la Raimundstraße.
►Afghanistan : la direction de l’information et de la culture déclare que la diffusion de la voix des femmes à la radio est « absolument interdite »
Si certains hommes sont tentés par la voix des femmes, alors ces voix ne doivent pas être entendues…
Afghanistan International
L’Afghanistan Journalists Center (AFJC) rapporte que les talibans ont imposé de nouvelles restrictions aux médias à Kandahar. Selon une directive émise par la direction de l’information et de la culture des talibans, la diffusion de la voix des femmes à la radio est désormais « absolument interdite ».
La directive ordonne également à toutes les stations de radio de faire référence au chef des talibans, Hibatullah Akhundzada, comme étant « l’estimé Amir al-Mu’minin, qu’Allah le protège ». En outre, les médias doivent faire référence au gouvernement taliban en tant qu’« Émirat islamique ».
Les restrictions ne se limitent pas au contenu. Les publicités pour les médicaments, les produits cosmétiques et les services de santé sont désormais interdites, à moins d’être officiellement approuvées par la direction de la santé publique. Les employés de la radio qui se déplacent dans la province de Kandahar pour réaliser des reportages ou des émissions doivent également obtenir l’autorisation préalable de la direction de l’information et de la culture.
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