Quels sont les contribuables spécifiquement concernés par l’affaire Dittli?
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Pourquoi Bernard Nicod a-t-il été si prompt à défendre Valérie Dittli? La question est sur toutes les lèvres. Début février, un mois avant que Le Temps ne révèle l’existence d’une analyse externe sur le Département des finances, personne hors du sérail n’imaginait que l’ex-président de la BNS Jean Studer était en train de réunir des pièces et d’entendre des témoins pour démêler ce qui se tramait au sein de la Direction de la fiscalité du canton de Vaud.
Au même moment, le sanguin magnat de l’immobilier romand disait dans nos colonnes tout le bien qu’il pensait de la ministre, «la seule» valable et la «plus intelligente» du gouvernement vaudois à ses yeux. Etait-il au courant de l’enquête en cours et a-t-il ainsi voulu défendre Valérie Dittli? «Tout le monde était au courant!, tempête Bernard Nicod au téléphone. Mais je n’ai pas voulu la défendre. Je ne défends personne, sauf le canton de Vaud, qui est dans une merde noire! Ils vont recevoir des milliers de réclamations fiscales qui vont ralentir le travail de l’administration et compliquer les relations avec les citoyens.»
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