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Une chose est sûre, parfois, Léa
Salamé n’est pas tendre avec son compagnon, Raphaël Glucksmann. Et
c’est lui qui le dit.
Elle est la grande successeure d’Anne-Sophie Lapix. D’ici à
quelques semaines,
Léa Salamé va pouvoir découvrir le plateau du 20 heures de
France 2. Mais la journaliste qui va devoir quitter France Inter,
les choses ne sont pas faciles.
Raphaël Glucksmann se confie sur les remarques acerbes qu’il reçoit
de la part de Léa Salamé
En effet, de nombreuses voix se sont élevées contre la
nomination de la journaliste, à cause de son compagnon,
Raphaël Glucksmann. En effet, l’homme politique de
gauche pourrait être un frein à la carrière de Léa Salamé. Mais
voilà qu’entre les deux tourtereaux, parfois, le ton monte et les
piques sont osées. Dans le portrait rédigé par nos confrères de
Libération, l’eurodéputé dévoilait la réaction de sa compagne
lorsqu’elle n’est pas en adéquation avec lui :
“Eh oh, tu planes” ou “Tu as été
naze”. Et toc ! Une pique bien sentie. Mais
Raphaël Glucksmann est homme heureux. Pour lui, les meilleures
journées sont celles passées avec ses enfants : “Un match de
football avec mes fils et un bon déjeuner en famille”.
L’homme politique fait des confidences
sur son couple
Avec une vie à cent à l’heure,
Raphaël Glucksmann aimerait parfois un peu souffler : “Et
si je peux gratter une heure pour lire un livre et une autre pour
aller boire un café avec ma femme, c’est
Byzance !”, a-t-il ajouté. “Léa est ma meilleure
amie”. Mais pour ceux qui estiment qu’il existe un conflit
d’intérêt entre la journaliste et l’homme politique, Léa Salamé nie
en bloc. Son compagnon “est député européen depuis six ans et cela
ne m’a pas empêchée de présenter L’Émission politique pendant cinq
ans, de faire l’interview du 14-Juillet, le débat de
l’entre-deux-tours en 2022 ou d’avoir tous les politiques au micro
le matin sur France Inter”.
Léa Salamé au 20
heures, conflit d’intérêts ?
Elle n’hésite pas à évoquer les autres personnalités politiques.
“D’Emmanuel Macron à Marine Le Pen en passant par Bruno
Retailleau, Édouard Philippe ou Jean-Luc Mélenchon, je n’ai jamais
senti dans leurs yeux qu’ils me prenaient pour ‘la femme de…’. Les
temps ont changé et les Français, politiques compris, sont beaucoup
plus féministes qu’on ne pourrait le croire”. Et il est hors
de question pour la journaliste de se laisser faire :
“Mon couple n’est un secret pour personne,
mais on cloisonne énormément nos activités. Et chacun a ses
opinions, sa vision, ses convictions. Il n’a évidemment jamais tenu
mon stylo ! Ni moi le sien, d’ailleurs”. Voilà qui est dit
!
