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Cette année, le Belluard change de tête et explore le vaste monde à hauteur de sols

  • Sous la nouvelle direction d’Elisa Liepsch , le 42e Belluard-Bollwerk explore les notions de territoire et de postcolonialisme.

  • Plusieurs projets incluent des ateliers avec les habitants, comme ceux de Sara Leghissa autour de la résistance queer, ou de Samah Hijawi autour de la nourriture .

  • La scène suisse n’est pas en reste, avec des propositions mêlant danse, vidéo et installation.

Savez-vous pourquoi on donne parfois le nom de «Naarm» – ou «Narrm» – à Melbourne? Parce que dans le Woi Wurrung, une des langues aborigènes, ce nom signifie «broussailles» et reflète l’histoire de la création de la baie méridionale australienne. Si vous souhaitez en savoir plus sur la façon dont nous parlons de nos pays, vous irez voir On Telling it to the Mountains, lecture-conférence de la chorégraphe et danseuse Amrita Hepi, qui partage sa vie entre Naarm, justement, et Bangkok. Le 26 juin, cette performeuse inaugurera le 42e Festival Belluard Bollwerk, rendez-vous fribourgeois plus international que jamais au vu du cosmopolitisme des artistes invités (Philippines, Palestine, Egypte, Chili, Sri Lanka, Iran, etc.) et de leurs démarches singulières.

Intitulée «The Grounds We Share» et emmenée pour la première fois par Elisa Liepsch, curatrice allemande née en 1980 et qui succède à Laurence Wagner, cette édition qui courra jusqu’au 5 juillet va évoquer les «terres, territoires, sols et sous-sols» d’un point de vue postcolonial. Elisa Liepsch nous en parle.

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