Amélie Mauresmo (Roland-Garros) craque totalement à la télévision : “un événement très difficile…”
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Alors qu’elle est présente sur un
plateau de télévision, Amélie Mauresmo va totalement craquer au
sujet d’un souvenir douloureux.
Alors que la nouvelle édition de Roland-Garros va débuter ce
dimanche 25 mai 2025, Amélie Mauresmo a accepté de se
confier à coeur ouvert dans l”émission Clique, sur Canal+.
L’ancienne grande sportive de haut niveau est revenue sur
différents sujets.
Amélie Mauresmo craque à la télévision en évoquant un sujet
douloureux
En effet,
la directrice de Roland-Garros a alors évoqué la mort du père
de son invitée : “Vous avez dit : ‘Mon père est mort en
mars 2004, je suis devenue numéro 1 mondial en septembre 2004, ce
n’est certainement pas anodin”. Qu’est-ce que vous y voyez, comme
relation de cause à effet ?“, lui demande-t-il. Et voilà
qu’Amélie Mauresmo se retrouve prise de court. “Je ne
m’attendais pas à celle-là”, commence par indiquer
l’ancienne championne. Mais elle a bien du mal à cacher son émotion
: “Plus de vingt ans, et…“, dit-elle sans pouvoir finir
sa phrase. Amélie Mauresmo se retrouve alors très
émue, à tel point qu’elle est obligée de
s’interrompre pour essuyer ses larmes. Respectant
son chagrin, Mouloud Achour attend quelques
instants.
La patronne de Roland-Garros revient
sur sa folle carrière
Tentant de reprendre son calme,
Amélie Mauresmo prend une inspiration et continue à se confier
: “Cela a été un événement très difficile à accepter mais qui
m’a donné une distance, je crois, dans mon tennis, mes objectifs.
Je me suis dit que la vie c’est autre chose. (…)
J’ai réussi plus souvent, après ça, à être dans le jeu et à faire
abstraction de l’enjeu“, précise-t-elle. “Toutes mes
plus grandes réussites sont arrivées après mars 2004,
après le décès de mon père“. Des
confidences très franches de la part de l’ancienne championne
française qui s’est aussi confiée de ses débuts de carrière et
l’éloignement avec sa famille. “Est-ce que le fait d’être
éloignée très jeune de sa famille pour aller faire un sport comme
le tennis, ça peut causer des
fêlures ?“, lui demande alors
l’animateur.
“Le décès de mon père m’a donné cette
distance avec mon tennis, mes objectifs”Amélie Mauresmo se confie sur comment le décès de son père, en
mars 2004, a influencé sa manière d’aborder son sport. pic.twitter.com/DoE1tEsV5P— CLIQUE (@cliquetv) May 20, 2025
L’éloignement avec ses
proches
Là encore, Amélie Mauresmo fait preuve de franchise : “C’est
possible mais c’était un choix. Pour moi, c’était un choix
et je ne l’ai jamais regretté, ça a été dur”.
Mais parfois, être sportive de haut niveau est une véritable
pression : “Par contre, il y a eu des moments très
difficiles . On parle des pleurs, etc. Moi, je suis
partie de chez moi à 11 ans. On m’a rentré en
sixième. Je me souviens, je reprenais le train le
samedi midi, car il y avait école le samedi matin à l’époque et je
revenais le dimanche soir. Donc j’avais, et même pas tous les
week-ends, une journée et demie voire que 24 heures parce que le
temps que j’arrive chez mes parents… Donc oui, c’était des
fêlures mais à quel point ça m’a aidé aussi à m’endurcir et à
passer au-delà de tout ça après pour aller atteindre mes
objectifs“.
