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à l’Estaque, les esprits autant marqués que les maisons

Les cendres s’envolent. Les cigales se sont tues. Au sommet de la montée du Pichou, dans le 16e arrondissement de Marseille, les stigmates de l’incendie qui a ravagé 750 hectares mardi 8 juillet soulèvent le cœur. Les maisons ne sont plus que des structures squelettiques. Les carcasses de voitures gisent et les aloe vera ont perdu de leur superbe, tristes et carbonisés sur le bas-côté du chemin.
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