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“C’était risqué”, l’aveu choc du prêtre avant son geste fatal

“C’était risqué”, l’aveu choc du prêtre avant son geste fatal

Par Victoria
Buisson

Publié le

D’après de nouvelles révélations,
le prêtre qui a baptisé Émile aurait eu des soupçons sur le
grand-père du garçon au moment du drame.

L’affaire sur la mort du petit Émile, retrouvé sans vie l’été
dernier, reste plongée dans l’incertitude. Malgré des avancées
majeures, notamment l’examen des preuves et des témoignages,
l’enquête semble piétiner. Aucun élément nouveau n’a en effet
permis de faire la lumière sur les circonstances de cette tragédie,
et les enquêteurs restent sans piste fiable. La famille d’Émile,
dévastée, attend toujours des réponses, tandis que le mystère qui
entoure sa mort persiste.

“Un peu agressif avec ses
enfants”

En marge de cette affaire, une découverte macabre a récemment
secoué la communauté : Claude Gilliot, le prêtre qui a baptisé
Émile, s’est donné la mort. Avant ce geste désespéré, il avait
d’ailleurs exprimé à plusieurs reprises ses doutes concernant

l’implication du grand-père, Philippe Vedovini, dans la
disparition du petit garçon. “Dès le début, il m’a expliqué que
Philippe pouvait être quelqu’un qui pourrait être ferme, voire un
peu agressif avec ses enfants, qu’il l’avait déjà surpris mettre
une fessée violente à l’un d’eux. S’il me l’a dit, je pense qu’il
en a parlé à un paroissien ou une personne de confiance, et
Phillipe l’a su
“, a notamment confié Arthur Herlin de Paris
Match dans C l’hebdo samedi 29 mars.

Une rivalité dévoilée avec le
grand-père d’Emile

Ayant su également que le Père m’avait accueilli et avait
donné une photo à Paris Match, ça a provoqué sa colère. Une colère
noire. Il l’a insulté de tous les noms, il lui a dit qu’il ne le
reverra plus et qu’il fera tout pour le renvoyer de la paroisse —
ce qu’il a réussi à faire en septembre
“, a ajouté le
journaliste. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que les
soupçons du prêtre sont ainsi mis en avant. Selon Le Nouveau
Détective, Philippe Vedovini aurait pu s’emporter face à un
Émile agité, “obsédé par l’idée d’aller jouer dans la
cabane que bâtissaient ses cousins, sur le chemin du col du
Labouret.”

“On apprend à régler
les problèmes entre soi…”

Cette hypothèse a été largement soutenue par
l’homme d’Église qui avait confié qu’elle était tout à fait
envisageable“. “Je suis sûr que la famille n’aurait
pas hésité à cacher ce genre de drame, même si c’était
risqué
“, avait-il même lancé avant que Bruno Raout, un ancien
élève du pensionnat où Philippe Vedovini était chargé de la
discipline n’ajoute : “La loi du silence, le secret, c’est ce
qu’on nous enseignait à Riaumont. (…) Je suis persuadé que, si un
tel drame s’était produit, le grand-père ne se serait jamais
dénoncé aux forces de l’ordre, et que personne dans la famille ne
l’aurait fait. Chez eux, on vit en vase clos, on se serre les
coudes, on apprend à régler les problèmes entre soi…

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